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Doucéphémère.
20 octobre 2009

C’est ce rien qui m’obsède.

AL

(LA SITUATION) C, de nuit. Aux environs de 2 à 3. Le foulard et mes épaules. Agenouillé sous la hauteur, et en. Les yeux rivés sur le ciel de pierre. (DEBUT ET FIN DE LA NEIGE) Minuscule, la tache rouge. Un point de plus, à rajouter. Aujourd’hui, c’est l’imagination qui est à son comble. L’imagination douce. Car les bosses sous mes mains sont marquées de cheveux. Ceux que l’on ne voit pas, la nuit, entre deux portes. HELAS / Combien de temps sous cette façade étrange ? Je sourie à la voix qui m’explique ce que je sais déjà. Le Sud perdu dans le blanc. Chaud, que je garderai - dans moi -.

 

Sinon, j'ai à nouveau internet.

absence

 

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Commentaires
G
MelleRoüge/Oui... J'imagine que depuis le temps toi aussi tu l'as revue. Comment as-tu vécu ce concert ? De mon côté, un tantinet déçue, car moins poétique que la fois où nous nous étions croisées sur Lyon...
M
Tes petits "riens" sont toujours plein d'émotion. Un rien qui fait tout.<br /> Tu as vu Mademoiselle Emilie à Strasbourg ? C'était chouette ?? D'mon côté, je la vois dans une dizaine sur Lille. Il me tarde. J'penserai bien à toi !<br /> <br /> Take care *
P
ce que j'aime ici ce sont les paroles abstraites (que je n'y comprend quedalle) avec les photos et dessins ça me laisse pensive ... bises et bon retour
G
Oui, cette fois-ci je crois que c'est la bonne ;]
L
WAY t'es de retour ! <3
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